[Édito] Quelle certitude pour s’arrimer ? 

Un soleil de novembre qui nous inquiète, des perspectives économiques qui donnent un « nervous breakdown » à tout économiste prévisionniste, les virus qui rusent, et j’en passe certainement beaucoup.

Donc rien de très rassurant ou très solide apparemment… Mais n’en a-t-il pas toujours été ainsi ? Qu’avons-nous comme point solide et définitif pour accrocher nos certitudes ? 

Selon moi, dans le monde économique et professionnel qui est le nôtre, il en est un qui doit fédérer nos actions, décisions et objectifs : c’est celui qui nous fait lever le matin et agir collectivement…  

J’ai bien sûr nommé le client ; et dans ces temps troublés, il est de plus en plus vital de l’entendre, le choyer, le conserver ce fameux client… Surtout qu’il a pris un pouvoir toujours plus grand : il peut voter, donner son avis, partout en parlant fort et en permanence. Et en plus il est écouté et crédible pour tous les futurs clients possibles : notre dernière étude l’a montré : pour une décision importante, une grande majorité de prospects regarde les avis avant le prix ! 

Alors oui le client est un point solide. Les entreprises performantes le savent : le client nourrit et réunit. Il est le présent et le futur. Une bonne relation client n’est pas une posture. C’est une culture. 

C’est souvent énoncé, pas forcément affirmé.  

Pourtant si client est solide, alors le futur devient plus probable à défaut d’être certain.  

Des mots évidents qui doivent résonner longtemps et raisonner beaucoup.  

Bonne lecture,

Alain Bouveret

Directeur Général d’Eloquant